Moanda: 100 Millions et le poste de Directeur en charge de la RSE pour sa maitresse promis à Wilfried Okoumba. Les dessous du scandale!

Selon plusieurs sources concordantes, l’ex-bagnard et meurtrier Wilfried Okoumba serait prêt à tout pour la modique somme de 100 millions de francs CFA et la promesse d’un poste prestigieux pour sa maîtresse : celui de Directrice en charge de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Cet activiste en mal de reconnaissance aurait accepté de se prêter à un jeu malsain, celui de la déstabilisation de la Comilog, une des plus grandes entreprises du Gabon. Cette croisade, motivée non pas par des convictions, mais par un appât évident du gain, révèle la face sombre de celui qui, derrière ses discours enflammés, cache une réalité bien plus pathétique.

Wilfried Okoumba, actuellement en France et sans emploi stable, vit dans des conditions sociales difficiles. Chômeur chronique, il serait en retard de quatre mois de loyer et aurait accumulé une facture d’électricité et de chauffage d’EDF à hauteur de 4215 euros, une somme qu’il peine à régler. Dans son petit appartement, il passe ses journées à regarder des émissions de divertissement, comme Koh Lanta, et à échafauder des plans pour obtenir de l’argent, non pas par des moyens honnêtes, mais en monnayant sa voix sur les réseaux sociaux. Cette situation économique précaire l’a poussé à se lancer dans des campagnes de dénigrement, ciblant des personnalités et des entreprises gabonaises, afin d’obtenir des fonds auprès de certains acteurs corrompus.

Ne se souciant ni de l’honneur des personnes, ni de la stabilité de son propre pays, Okoumba n’hésite pas à salir l’image d’un homme, d’une famille, voire d’une ethnie entière, pourvu qu’il puisse en tirer profit. Son obsession pour la Comilog, qu’il évoque sans cesse dans ses audios WhatsApp, en est la parfaite illustration. Tandis que le pays fait face à des problèmes bien plus urgents – pénurie d’eau, délestages électriques, routes en mauvais état, corruption galopante – Okoumba, lui, s’acharne exclusivement sur cette société. Il est d’ailleurs le seul activiste à en parler avec autant d’insistance, ce qui soulève des interrogations quant à ses véritables motivations.

Les grands esprits discutent des idées, les esprits moyens discutent des événements, mais les petits esprits discutent des gens, disait Eleanor Roosevelt. Wilfried Okoumba, lui, ne fait que discuter des gens, incapables de tenir un discours fondé sur des faits ou des analyses. Ses attaques sont, en réalité, une diversion, un moyen pour lui d’attirer l’attention et, surtout, de remplir son compte en banque. Le gouvernement gabonais et la multinationale Eramet, actionnaire de la Comilog, ayant renouvelé leur confiance en Léo Paul Batolo, Okoumba s’est retrouvé à court d’arguments concrets. Pour sauver la face, il a recours aux vieilles recettes du tribalisme et du mysticisme, espérant attiser les haines communautaires.

Lors de son dernier audio, il a tenté, maladroitement, d’analyser la situation en suggérant que la Comilog devrait ralentir sa production pour garantir sa présence à Moanda sur le long terme. Une proposition absurde, qui a rapidement révélé son incompétence sur les questions économiques et industrielles. Réalisant la portée de sa bêtise, il est rapidement revenu à son terrain de prédilection : les attaques tribales.

Tout cela pour quoi ? Pour s’assurer que sa maîtresse, Madame M., conserve son poste juteux de Directrice en charge du Développement Durable après une éventuelle éviction de Batolo. Cette dernière, autrefois au service de la collectivité, a vu sa réputation entachée par des scandales liés aux réalisations en matière de RSE. Mais dans l’ombre, Okoumba manœuvre pour qu’elle garde cette position lucrative, quitte à détruire des carrières et des réputations sur son chemin.

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